
La Fondation des Gouverneurs de l’espoir compte 15 nouveaux Gouverneurs dans ses rangs depuis le 5 à 7 de recrutement qui avait lieu le mardi 18 septembre.
Avec ces 15 nouveaux hommes et femmes à devenir Gouverneurs de l’espoir, la Fondation compte maintenant sur 173 personnes pour être les piliers de sa mission et de ses engagements, c’est-à-dire soutenir la recherche sur le cancer et venir en aide financièrement aux familles dans le besoin parce que leur enfant est atteint d’un cancer.

Voyez la liste complète des membres Gouverneurs ici.
Une centaine de personnes ont participé à ce 5 à 7 qui a permis de faire une série d’annonces importantes relativement à la Fondation:
- L’entrée en poste du premier porte-parole officiel de la Fondation, Patrice Bélanger.
- L’entrée en fonction d’un conseil d’administration de sept (7) personnes.
- La confirmation d’un engagement de 320 000 $ pour trois (3) programmes de recherche
Lisez le compte-rendu de la soirée dans Le Soleil de Châteauguay.
La soirée animée par Patrice Bélanger a permis de présenter les membres du conseil d’administration et d’en apprendre davantage sur les trois programmes de recherche qui reçoivent l’appui financier de la Fondation.


Programme de recherche
Ainsi, une première tranche de 100 000 $ sur 3 ans sera consacrée à un fonds de recherche en soins palliatifs, sous la responsabilité du Dr Marc-Antoine Marquis, qui consacrera ses efforts à comprendre la douleur chez les enfants, particulièrement ceux qui sont en soins palliatifs dans le but d’atténuer cette douleur et améliorer leur qualité de vie.
Une enveloppe de 130 000 $ sur 2 ans sera consacrée au programme Mieux guérir, mieux grandir, sous la responsabilité du Dr Daniel Sinnett. Cette étude cherche à trouver des façons de réduire les effets secondaires à long terme des traitements chez certains enfants atteints de cancer.
Grâce à un engagement des Abeilles du Suroît, Catherine Demers, ergothérapeute et chercheuse, recevra 90 000 $ sur 4 ans pour l’implantation d’un suivi des enfants malades, dès leur diagnostic, pour les conseiller sur de meilleures habitudes de vie afin de diminuer l’apparition d’effets secondaires à long terme des traitements, comme le diabète, l’embonpoint, les problèmes de concentration, etc.
